Little Blood-Red Riding Hood

 

Par Richard

 

Personnage :

 

Red Riding Hood, un gentil duveteux Toreador. Granny, un Ventrue âgé. Le Bûcheron, un gros morceau de Brujah qui n'a pas de répliques. Le mauvais loup , c'mon, qu'est ce que vous pensez qu'il est ?

 

Scène 1 :

 

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Scène 1:

 

[Entre Red Riding Hood. Elle parcours dans un chemin humide et trempé, . chantant plein de charme dans les ténèbres et sinistres les bois que vacille quand son manteau ignore à travers. Elle est habille entièrement en rouge, et ses crochets font ses petits zézaiements.]

 

R.R.Hood : Je suis sorti pour voir ma grand mère, la Primogène de la foret ! Je vais lui porte à sa maison du bon sang frais pour sa nourriture ! Tra la la, je suis trop heureuse, je suis Toreador !

 

[ Elle tourne autour de la scène pendant un moment. Doucement, elle remarque un grand mauvais méchant loup gris, probablement en recherche de plus d'adjectif pour son nom. Il se cache derrière un bosquet peint. R.R.H ne le voit pas, et pour quelque raison obscure ne le voit pas non plus.]

 

Le Loup : Ouououououououou ! Maintenant je connais qui est le Primogène de cette parité ! Et je pense qu'elle se déguise elle même comme une douce vielle dame. Maintenant, si je pouvais seulement trouve ou elle vit...

 

[Le vilain est bien sur oblige par contrat de siffler, ce qui fait toute ces lignes deux fois plus longue quelle le devrait. Les vilains doivent respecter - certaines - règles, après tout.]

 

[Le loup saute hors de bosquet, faisant sauter la pauvre Little Red Riding Hood sauter hors de ses baskets. Il garde sa tête detourne sur la fille, quand il lui parle.]

 

Le Loup : (enroué) Désolé de t'avoir fait peur, petite fille. Ou te rend tu ainsi, par une telle nuit sombre ? Ces bois sont rempli de choses maléfique, comme des loups, le Sabbat, les Anarchs et des hommes avec des yeux gris aciers qui perce ton âme.

 

R.R.Hood : Eh ! Je vais chez ma grand mère, qui vit dans un petit cottage sur la rivière. C'est un très long chemin. Je lui porte de mon sang.

 

Le Loup: D'accord, ne me laisse pas d’arrêter, petite fille.

(A part au publique) Oui ! je peux prendre le raccourci les bois, prétendre être la Toreador duveteux, manger la grand mère, attendre Red Riding Hood, prétendre être la grand mère, et la manger aussi ! Ouououououh !

 

[Le Loup quitte la scène, disparaissant dans les bois avec un crash de tonnerre de chute de scène.]

 

R.R.Hood : Eh ! Quel homme étrange ! Peut être était ce un Tremere.

 

[Elle sort de scène, et le rideau se ferme.]

 

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Scène 2 :

 

[ L’intérieur du cottage de Granny. Beaucoup de fanfreluche de dentelles, hand-sewn devises sur les murs, une image de la Reine sur une pièce de manteau. Granny est au téléphone. Sa voie est celle d'une pure yuppie.]

 

Granny: " OK, Ouais. Vend les options dans le plastiques. Et prends moi pour cinquante mille dans le pétrole. Ouais. Dîner Vendredi. Bye."

 

[Elle raccroche le téléphone, quand la porte sonne. Sa voix devient celle d'une vielle commère.]

 

Granny : Ah ! c'est ma petite fille, la Toreador gentille à m’en rendre malade. Je suppose qu'elle essaye de me lier au sang à elle une fois de plus.

 

[Elle ouvre la porte, entre le Loup. Le Loup est habille de façon extrêmement pas convaincante dans une robe rouge en lambeau. La voix fait partie du jeu aussi.]

 

Le Loup : Hello, vielle commère. Je suis ta petite fille, la Toréador duveteuse.

 

Granny : Red Riding Hood ! (Regardant plus précisément les Loup) vous n’êtes pas la duveteuse Toreador gentille. Vous êtes un garou ! est ce un pieu dans votre poche, ou êtes vous juste content de me voir ?

 

Le Loup : Oh, non je ne le suis pas !

Granny : Oh, si vous êtes !

Le Loup : Oh, non je ne le suis pas !

Granny : Oh, si vous êtes !

Le Loup : Oh, non je ne le suis pas !

Granny : Oh, si vous êtes !

Le Loup : Oh, oui je le suis !

Granny : Oh, non vous ne êtes pas !

 

Le Loup : D'accord, pouvons nous en finir avec ce sacre cliché de pantomime ? Oui, je suis le Loup détrempé. Oui, vous êtes tombes dans l'astuce " Oh oui je le suis". Et oui, vous êtes grillé.

Granny : Microbe

 

[Le Loup sort le pieu, riant triomphalement, et pieute Granny. Rideau.]

 

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Scène 3

 

[Le Loup est dans un lit, avec un bonnet de nuit duveteux. Red Rding Hood frappe à la porte.]

 

Le Loup : Entrez, ma Cher.

 

R.R.Hood : Granny !

 

[Elle rentre, et se perche sur le bord du lit.]

 

R.R.Hood : Granny ! Allez vous bien ? vous semblez très velu.

 

Le Loup : Qu'est ce qui vous fait dire ca, mon enfant ? Je suis un pauvre vielle femme, à qui il arrive être le Primogène Ventrue.

 

R.R.Hood : Oui, mais Granny, que grande dent vous avez !

 

Le Loup : Toutes les meilleurs, er, rip à part les loups, ma chère.

 

R.R.Hood : Ou, mais Granny, je ne savais pas que vous aviez Métamorphose !

 

Le Loup : je l'ai maintenant, -chère _ gentille duveteuse Toreador.

 

R.R.Hood : Oui, mais Granny, quel grand yeux vous avez !

 

Le Loup : Des tous meilleurs pour vous dominer avec, ma chère.

 

R.R.Hood : Oui, mais Granny, quel grand doigt vous avez ! Et vous n'en avez que deux seulement.

 

Le Loup : (marmonnant) Er, inflation ? c'est ca ! des tous meilleurs pour enlever votre gorge retiré dans les limbes et vous disséminer au quatre vent parce que vous êtes une abomination puante sur la face de Gaia et votre âme est un bûcher funéraire perverti de corruption !

 

R.R.Hood : (fronçant des sourcils) Granny ? Etes vous - sure - que vous êtes Granny ?

 

[Le Loup bondit hors du lit pour l'attraper dans un coin. A ce moment, le vigoureux chasseur enfonce la porte. Une terrible bataille s'ensuit, avec R.R.Hood fuyant sur le chemin. Finalement...et une terrible explosion ceci pour les traditionalistes de l’audience... le bûcheron gît mort, pieuté sur sa propre hache. Le Loup se tourne, se baladant et bavant.]

 

Le Loup : Maintenant ! Toreador duveteux, prépare toi à mourir !

R.R.Hood : (émoi cillé) Mais mon Loup adoré ! Ce bûcheron était un Sabbatique et il essayait de me convertir dan la voie du malin ! Et Granny était un vieux Ventru et par derrière elle me dominait tout le temps, c’était horrible ! Je ne pouvais jamais pense pour moi !

 

[Le Loup, entendant ceci, a un remords soudain. Je ne peut pas imaginer pourquoi.]

 

R.R.Hood : Tu peut venir avec moi, Loulou chéri ! Et nous pourrions vivre heureux même après !

 

[ Elle le regarde avec des yeux de braise encore, et, contre toute probabilité, entraîne le pauvre animal. Ils vont main dans griffe, se regardant yeux dans le yeux, et vécurent en effet heureux par la suite.]

 

FIN

 

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